Lorenzo Barzini
Nombre de messages : 57 Est Actif à : Midtown et New Light Spécialité : Trafic de drogue Employeur : Je me représente moi-même. Date d'inscription : 23/03/2008
Feuille de Personnage Réputation: (7/3000) Charisme: (0/3000)
| Sujet: Le plein...de quoi? (Extorsion) Mar 25 Mar - 10:02 | |
| Lorenzo préparait soigneusement l'extorsion de la grande station essence, sa première extorsion. Il ne voulait pas être identifié et agirait par l'intermédiaire d'un spécialiste des extorsions, donné par son nouvel associé Cristiano Stracci. Il lui avait dit "Je veux que tu utilise tout ton talent pour extorquer cette station. Je pourrai ainsi juger tes qualités." Lorenzo attendait donc à bord d'une cadillac noire, sur la banquette arrière toute en cuir, tandis que Vito, son fidèle chauffeur, tripotait inlassablement le volant, attendant la fin de l'opération. Le mafioso regardait son homme par la fenêtre, qui se dirigeait vers la station essence. A l'intérieur, il le perdit de vue...* L'homme envoyé extorquer pour le compte de Barzini s'appellait Carlo, et était un jeune malfrat qui s'était révêlé doué pour le métier et engagé par Stracci, qui l'avait emmené ainsi que son regime fidèle dans les rangs de Barzini. Malgré qu'il n'aie pas atteint le statut prestigieux de Parrain, tout le monde dans le gang appelait le chef "Don Barzini", selon la vieille coutume sicilienne. Carlo entra dans la station service et s'approcha du vendeur. Tout était vide...tant mieux. Ils étaient seuls pour discuter affaires. Carlo apostropha le vendeur et lui sourit gentiment, tout en allumant une cigarette.-On ne fume pas ici!Le vendeur devint rouge et Carlo éteignit lentement la cigarette, la jetant dans la poubelle, près du comptoir. Il regarda longuement le vendeur qui semblait ne pas aimer être dévisagé ainsi.-Vous savez, par ici, c'est très mal fréquenté. Vous devriez vous protéger.Le vendeur sembla offusqué et répondit brusquement:-Me protéger? Me PROTEGER ? Vous me prennez pour un imbécile ? Je sais ce que cela veut dire : vous voulez tout simplement me piquer mon fric.Carlo, imperturbable, répliqua:-Et, en retour, nous vous protègerons des petits bandits qui hantent la périphérie. Ne me mentez pas : combien de fois les stations services comme celle-ci ne sont-elles pas attaquées, combien de fois n'avez-vous pas vu disparaître une cannette de cette boissons infecte qu'est le Coca-Cola. Où un paquet de cigarettes. Je peux faire disparaître tous vos problèmes...Carlo était très persuasif, et le commerçant semblait réfléchir attentivement à la proposition. En effet, avec toute la criminalité dont il était victime, payer une protection lui ferait perdre moins d'argent que réparer sans cesse les vitres cassées et accuser le coup chaque fois que sa caisse était vidée. | |
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