Salvatoree venait d'arriver dans un nouveau quartier de New York. En fait, il était venu dans le territoire de la famille Andolini, qui l'avait engagé récemment. Malgré cela, Salvatoree ne se faisait pas vraiment payé. On lui donnait du travail et là il était payé. Par contre, pour l'instant il n'avait pas beaucoup de travail. En fait, il cherchait. Il ne voulait pas non-plus travailler dans une épicerie.
Plusieurs fois, du travail dans le domaine des narcotiques avaient été mansionnés, mais Salavatore ne voulait pas du tout toucher à ça...
C'était le matin, il faisait très froid dans l'appartement de Salvatore Le soleil ne s'était pas encore levé. Comme d'habitude, Salvatoree s'était réveillé tôt. Il se leva et mit sur lui une robe de chambre grise. Puis, il alla monter le chauffage. Puis, il alla regarder dehors, par la fenêtre. Le soleil n'était toujours pas apparu, mais le temps était gris. Tout laissait prévoyer qu'il allait pleuvoir. Puis, Salvatore remarqua que deux lettres étaient déposés devant la porte. Une d'elles était blanche, avec un plastique qui montrait le nom d'une compagnie. La deuxième était une simple carte, d'un coté se trouvait une photographie de New York et de l'autre devait se trouver un mot.
Salvatore alla alors ouvrir la porte pour aller voir ce que c'était. Il ramassa les carte puis referma la prote. Il observa ensuite les cartes. La première était une publicité d'un magasin de vêtement et la deuxième, était une lettre particulière. Voici ce qui était écrit:
<<Cher M.Piccolo,
J'espère que votre arrivé dans le nouveau quartier ce passe bien. Je sais que vous êtes nouveau ici, c'est pourquoi, moi et mes associés savons que vous avez besoin d'aide pour commencer votre business ici. Donc, nous aurions un travail à vous proposer, si vous le faites bien, peut-être que nous allons encore vous demander de l'aide.
Donc, si vous êtes intéressé à un travail, venez, mercredi soir, à 21h00 sur la rue en fasse de restaurent italien.>>
Salvatore ne savait pas quoi dire. Il ne savait pas comment ils avaient pu le connaître. Peut-être que c'était des ennemis de la famille Manzela et qu'ils voulaient lui faire la peau. Peut-être que c'était un piège, mais peut-être que c'était aussi une de ses meilleurs chance de rentrer dans la business.
Après quelques minutes de pensés, son choix était fait; il allait y aller. Salvatore regarda l'heure, il était 6h30. Il ouvrit alors la petite télé en noir et blanc pour regarder les nouvelles...
20h00...
Salvatore venait de terminé son souper, qui constituer a être du spaghetti et un peu de pain. Quand il finit de boire son vin, Salvatore ouvrit son garde-robe poussiéreux pour s'habillé. Il prit alors ses plus beaux habits. Il mit ses souliers habituels, ses patanlons noirs, une chemise blanche et un veston noir. Puis, il mit un nœud papillon. Ensuite, il commença à ciré ses souliers. Quand ils furent éblouissants sous la lumière faible de la pièce, il arrêta. Il prit alors un manteau gris qui était accroché sur un crochet, le mit, puis prit le chapeau melon qui était à coté et le mit ensuite.
Puis, il sortit de l'appartement, prenant soin de bien fermer la porte à clé. Le parc n'était si loin de chez lui. Il était environ à trente de marche. Salvatore regarda sa montre... il n'était pas en retard. Il commença à marcher. Il faisait maintenant nuit. Salvatore pensa alors qu'il avait oublié quelque chose... Son arme! il se retourna alors, prêt à aller le chercher. Mais finalement, il rennonça. C'était inutile d'apporter une arme, car de toute façon, ils allaient sûrment le fouiller avant. Alors, Salvatore continua de marcher, se disant que ce n'était pas important. Durant sa marche, il put voir toutes les inégalités de la ville. On pouvait voir sur certaines rues des prostitués et de itinérants, puis, sur d'autres rues, des voitures de luxes et plusieurs hommes multimilliardaires, qui devaient être de gros caides de drogues.
Enfin arrivé au parc, Salvatore s'assit sur un banc. Autour de lui, un itinérant dormait sur un banc, deux hommes se cachaient en arrière d'un arbre, se piquant pour s'infuser de l'héroïne dans le corps. Puis, un homme très bien habillé, suivit de deux hommes de main arriva devant lui, levant sa main.
-Bonjour, je suis Marco Andini. Voici deux de mes associés. Je vois que vous êtes venu M. Piccolo.
Salvatore lui serra vigoureusement la main. L'homme était complétement habillé en noir, recouvert d'un épais manteau noir. Seul ses cheveux bruns ressortait de l'obscurité.
-Eh oui, je suis venu. Alors, qu'avez vous à me dire?
-Et bien, nous avons besoin d'un bon homme, un homme qui sache négossier l'argent.
-C'est mon domaine monsieur, dit Salvatore en souriant.
-Bien, alors nous allons tout de suite vous donner un travail.
Un des hommes derrière s'approcha de Salvatore. Il le souleva pour alors le fouiller. Voyant que Salvatore n'avait rien, l'autre homme s'approcha pour donner à Salvatore une mallette recouverte de cuir noir. Puis, le dénommé Marco lui expliqua son travail.
-Cette mallette contient beaucoup de drogue, vous devez aller l'échanger au restaurent italien. Mais ne revenez pas avec moins de 30 000$. Et surtout, ne vous sauvez pas avec, car nous vous retrouverons, ça je peux vous l'assurer.
-Vous n'avez pas à vous inquiéter, car je ne prendrai pas cette mallette. Je ne veux pas me mêler aux narcotiques. Vous savez, pour moi, la famille, c'est la chose la plus importante dans ma vie, et jamais je ne voudrais voir mes enfants consommer ce produit si indigne... J'espère que vous comprenez M. Andini.
L'autre homme, visiblement déçu, repris la mallette. Puis, lui et ses hommes se retournèrent. Ils semblaient furieux. L'homme n'avait même pas répondu à sa question. Il était déjà repartit. Salvatore, lui aussi était déçu. Il avait manqué une grande opportunité pour se faire de l'argent. Après s'être remis de ses émotions, Salvatore se releva et reprit sa marche vers sa maison, repensant à ce qui s'était passé.
Pendant qu'il marchait tranquillement dans une rue sombre, il commença à entendre des bruits de pas, puis, il commencèrent à êtres plus vites et plus forts. Salvatore vu alors des hommes arrivés en courant vers lui. Les voyant arriver, Salvatore commença à courir à son tour. Mais les hommes le rattrapèrent sans difficultés. Quand ils furent assez proches, une grande détonation se fit entendre. Puis une autre, puis une troisième, puis une quatrième. Ensuite, Salvatore s'écroula, en plein milieu de la rue, baignant dans son propre sang. Puis, les ténèbres l'envahirent, jusqu'à ce que les ténèbres l'envahissent entièrement.
12 jours plus tard...
Les yeux de Salvatore s'ouvrirent enfin. Les plafonds de l'endroit ou il était étaient blanc. Salvatore était sous des couvertures blanche. Il était couché sur un lit bien plus confortable que celui de sa maison. Plusieurs fils étaient collés sur lui. Puis, une madame, aussi habillée en blanc arriva et lui expliqua tout ce qu'il ne savait pas.
-Un homme vous a apporté ici, s'il ne vous aurait pas retrouvé, vous seriez probablement mort. Trois balles vous ont atteint. Une autre vous a juste éraflé le bras. Deux vous ont touché les jambes et une autre vous a touché le bras. Vous devrez rester ici pendant encore deux semaines.
Puis, elle partit. Jamais Salvatore n'allait attendre durant deux semaine avant de partir. Il se leva alors un peu de son lit. Un cri de douleur sortit de sa bouche. Il avait beaucoup trop mal. Il se recoucha et tomba endormit, trop épuisé.
Pendant les deux semaines qui suivèrent, Salvatore essayait à chaque jour de se relever. Après une semaine, il arrivait au moins à se lever et marcher, mais il finissait toujours pas tomber. Puis, après une autre semaine, on le permit de retourner chez lui. Mais il devait utiliser une canne pendant une semaine car sa jambe gauche ne s'était pas encore complètement rétablit. Donc, pendant une semaine, il prépara son plan pour prendre sa revanche.
Grâce aux bruits et aux contacts, Salvatore avait appris que Marco Andili allait faire un échange de drogue dans un petit restaurent. Salvatore avait mit au point une revanche presque sans défauts. Le jour de l'échange, Giovanni allait se déguiser en serveur, puis, lorsqu'il les servirait, Salvatore les tuerait tous. Il allait tous les tuer, car il allait débarrasser de la ville deux personnes qui amenaient des narcotiques dans la ville et qui la détruisaient tous. Ceux qui détruisaient les nouveaux jeunes de nos jours. Ces solopards ne méritaient pas de vivre.
Donc, le jour du meurtre, tout avait été mis au point. Salvatore était arrivé au bar vers 17h00. L'échange, lui devait s'effectuer dans les alentours de 18h00. Salvatore s'était habillé comme tout les autres serveurs et serveuses. Il portait une chemise blanche, un pantalon noir, recouvert d'un tablier noir. Il y avait aussi un joli nœud papillon qui se tenait sur sa chemise. Durant toute la soirée, il se remémorait son plan, assis dans les cuisines. Puis, le propriétaire arriva pour lui chuchoter qu'il était arrivé. L'autre homme qui allait acheter la marchandise, lui était seul, mais Marco Andili, lui était accompagné de deux hommes, qui devaient sûrement être les mêmes qu'il avait rencontré au parc. Durant le début de leur dîner, un autre serveur s'était occupé d'eux. Puis, lorsqu'il fut le temps de s'occuper de commander leur dessert, c'était Salvatore qui allait s'en occuper. Salvatore sortit alors son colt 45, récemment acheté, et le camoufla sous une serviette blanche, que Salvatore étenda sur son bras. Donc, dès que Salvatore voulait tirer, il le pouvait.
Alors, Salvatore poussa la porte de la cuisine pour se diriger vers la table de ses ennemis. Quand il arriva, les hommes venaient de terminer leur spaghetti. Marco lui adressa la parole en premier:
-Pourquoi l'autre serveur n'est-il plus là? Il me semble vous avoir déjà vu...
Marco et l'homme avec lequel il allait faire son échange ne devaient pas être armés, c'était pourquoi il fallait en premier tué les hommes de main de Marco.
-C'est parce que vous m'avez déjà vu sale traître!
Salvatore tira alors sur un des hommes de main en pleine tête. Il mourut sur coup. L'autre homme de main s'était levé, en train de dégainer son arme. Mais, Salvatore fut plus vite que lui et lui tira dans l'épaule. Mais l'homme eu le temps de tirer. La balle atteigna son épaule gauche. Giovanni décocha une autre balle, qui atteigna l'homme au coup. Il tomba alors sur la table, la renversant. Puis, il tira sur l'autre homme, qui était venu pour faire un échange. Il s'était levé, mais n'eu pas le temps de s'enfuir que Salvatore lui tira deux balles sur la tête. Puis, voyant que Marco se sauvait hors du bar, Salvatore commença à lui courir après. Mais, bien qu'il fut loin, Salvatore lui tira dans la dos, ce qui fit tomber le trafiquant de drogue sur le sol. Salvatore s'en approcha et pointa son fusil vers lui!
-Tu me reconnais maintenant?
Puis, Salvatore lui donna le coup de grâce en décochant une balle dans sa tête. Puis, Salvatore revint sur les lieux du carnage. Il y avait sur les lieux deux mallettes. Il ouvrit les deux, sous les yeux des clients effrayés. Dans l'une d'elle se trouvait des sacs de cocaïne et dans l'autre, des liasses d'argent. Il en prit une et en lança une vers le propriétaire. Puis, il la referma et se retourna vers le propriétaire.
-Sers-toi de cet argent pour réparer tout ça et faire plaisir à tes enfants.
Puis, Salvatore s'adressa à tous les clients, qui étaient tous apeurés sous le fusil de Salvatore. Voyant que ça gênait les clients, Salvatore le remit dans son pantalon.
-Ne me craignez pas. Soyez tous contents, car je vous ai débarrassé d'un trafiquant de drogue, qui aurais pu en revendre à vos enfants. Mais n'oublier pas que si vous cherchez les embrouilles avec moi, c'est ça qui vous arrivera, dit Salvatore en pointa le corps d'un des hommes de main. Appelez la police et dites-leur de détruire toute cette drogue.
Puis, Salvatore parta, la mallette d'argent à la main. Lorsqu'il poussa la porte, il dit une dernière chose:
-Rappelez-vous de moi!
Puis, Salvatore parta. En marchant dans la rue, il sentit une douleur lorsqu'il tenait la mallette. Il changea de main sa mallette, mais la douleur persista. Il se toucha alors l'épaule et toucha alors quelque chose de liquide. Il regarda sa main et vu qu'elle était toute rouge. Sa main était recouverte de sang. Il se dépêcha alors pour retourner chez lui.
Finalement, il arriva chez lui. Lorsqu'il arriva, il enleva sa chemise, qui était presque entièrement rouge. Puis, il alla chercher une serviette et une bouteille de whisky. Il versa un peu de whisky sur sa blessure, puis essuya le tout avec sa serviette. Il fit cela, jusqu'à ce que le sang arrête un peu de couler. Puis, il mit du papier essuie-tout sur sa plaie, puis mit du papier collant tout autour pour qu'il reste collé. Ensuite, il alla ouvrir sa mallette pleine d'argent. Il commença alors à compter...