Faut bien commencer quelque part non ? [Action]

Un matin plutôt nuageux, une voiture passa à toute vitesse, tout ça me fit lever les paupières. Je pris un petit déjeuner léger je devais surveiller ma ligne pour ne pas avoir la même alimentation riche en gras des américains. Après m'avoir vêtu de mon jolie costume traditionnel, qui se résume à un chapeau en feutre noir, une veste blanche recouvert un d'un veston noir ainsi qu'un beau pantalon noir, je fis ma toilette. Mes cheveux étaient impeccablement mit par en arrière, j’étais encore dans ce style de coiffure elle me donnait toute mon élégance sicilienne.

13h15, L’irish Coffee était complètement vide excepté deux hommes aux l’allure louche. Je pris place et commanda un verre. Le proprio venu me porter un café à la vanille française comme je l’ai aimait tant. Subitement je m’en pressai de demandé au propriétaire qui était ses hommes, il me répondit que c’était des affranchis de la famille Maranzano. Dans la rue on pouvait distinguer deux hommes vêtu d’imperméable noir l’un portait un chapeau melon en soie, ils entrèrent dans la buanderie.

Aussitôt ils empoignèrent un homme, un italien apparemment, j’étais ahuri par la violence utilisé par ses hommes, les affranchis se levèrent, je fis de même

« Vous connaissez ses hommes ? » dis-je sur le coup

« Non mais tu es qui toi ? »

« Lorenzo Andolini. »

Je ne pris même pas la peine de savoir leurs noms, je sortis de vitesse pour aller dans la buanderie l’autre côté de la rue. Les hommes ne firent pas attention à mon irruption dans la boutique, j’avais donc l’effet de la surprise.

« Messieurs laissez cet homme tranquille je ne sais pas ce qu’il a fait mais il n’osera plus le faire. »

« Tu te prends pour qui toi ? Johny Holla ? Dégage sale mes deux sinon c’est toi qu’on repasse.»

On devait toute se faire repassé un jour où l’autre, ça n’allait pas être mon cas aujourd’hui, je saisis l’homme par les cheveux, je pris mon fusil et le frappa dans le front pour une raison inconnu, surement sous la pression des affranchis de Maranzano. L’autre homme était terrorisé il cessa sur le champ de frappé l’homme les deux hommes quittèrent la buanderie. J’aidai l’homme qui était par terre c’était le pauvre homme se présenta au nom de Paulie, il était le boucher du coin !!!

MJ On

Ton coup de crosse fendît le front de l'homme qui gitlait de sang au plancher. Son ami, terrorisé, l'aggrippa et le releva. Il l'amena avec lui, hors de la buandrie, et par le fait même, du danger, toi. Ces deux hommes étaient que de petit Outsider de la famille Capuzzi, mais Mike, celui que tu as sauvagement attaqué, a des liens asser importants dans cette famille, malgrés son bas grade.

Rendu en dehors de la buandrie, Mike prit un mouchoir dans sa poche et essuya le sang qui coulait sur son visage. Tout les deux marcha jusqu'à une petite boîte téléphonique public, Mike aggrippa le téléphone et composa un numéro. Il rejoignit alors l'un des Caporegims du Don Capuzzi lui-même, lui qui était son cousin. Tu venais de fendre le front du petit cousin du puissant Don Capuzzi lui-même !

Pas plus tard que 10 minutes plus tard suite au coup de fil, deux voitures noires fîrent leurs apparission. D'une voiture, celle de devant, John, le Caporegims et deux de ces hommes en sortirent. De l'autre voiture, deux autres hommes de main de John sortient et retrouvèrent John, Mike et les autres. En tout, 7 hommes étaient là pour te faire la peau, à toi et à Paulie le boucher qui ne leur a toujours pas payer la quotion pour rester sur leur territoire ce mois-ci.

Tu as cinqs choix qui s'offrent à toi. Sois-tu .. :

1) Va à la boucherie de Paulie avec ce dernier et vous vous équiper de ces armes qu'il cache pour les affrontés.

2) Te sauve en courrant, laissant Paulie creuver comme un porc.

3) Te rend, espèrant qu'il ne te feront pas trop de mal pour avoir fracassé le front du petit cousin du Caporegims du Don Capuzzi, ce qui est très peu probable que ça ce produise.

4) Leurs payent les dettes de Paulie pour lui et vous sauvez la vie.

Ou bien,

5) Tu essais de jouer de ruse avec eux, ce qui sera très difficile, mais faisable ..

Que feras-tu pour vous sortir de ce pétrin dans lequel tu t'es enfoncé tête baisser en ne te mêllant pas de tes affaires ? Cela c'est si tu ne choisis pas la solution 2 .. Voyons voir ce que tu vaut. Wink

MJ Off

Un dilemme était présent dans ma tête je devais prendre le bon choix, la mort ou la vie, le mort de nous deux ou celle de ses hommes, la diplomatie ou la guerre tout ceci m’hantait. Je regardai Paulie, faible et incrédule qui avait du sang un peu partout dans le visage, dehors 7 malfrats m’attendaient avec un fusil en main l’un d’eux avait une Manchester prêt à tout pour en finir avec moi ou Paulie, je lançai un regard désespéré envers les Affranchis de l’autre côté dans la vitrine ceux-ci regardaient la scène au lieu d’alerté les hommes de Maranzano quelle bande de poltron ! Je rangeai mon fusil entre mon pantalon et mon froc facile à dégainer au cas où tout se complique.

Les deux hommes qui ont eux la démonstration de ma violence était encore des Outsiders par contre comme tout nouveau ils étaient extrêmement violents contrairement aux autres hommes de Capuzzi. Ils s’approchèrent vers moi avec un sourire aux lèvres et surtout un flingue à la main prêt à être dégainer en tout moment, je sortis mon porte feuille en guise de signe que j’allais régler la note de Paulie et surtout dédommager l’homme que j’avais affreusement amoché à coup de crosse sur le front.

« Alors tu fais moins le malin maintenant hein ? »

« On va régler ça en homme d’honneur et ne pas déclencher une vendetta pour une simple dette. Combien vous doit-il ? »
« 700$ » [color=darkred]dit-il en s’empressant de tendre la main, évidement le vieux ne devait que 500$.

Je sortis 700$ requis pour régler la note à Paulie, les hommes dirent aux autres de remballer aussitôt tous les hommes lancèrent un regard accompagné d’un sourire narquois vers moi. Les cylindrés se firent attendre dans le district de leur départ. Je rentrai dans la buanderie voir le pauvre Paulie, il me dit que c’était seulement de 500$ sa note et oui j’étais un peu trop naïf mais je ne voulais pas mourir et je ne voulais pas que Paulie meurt surtout qu’il sera surement important dans ma vie.

« Merci mais quelle est ton nom ? »

« Lorenzo Andolini »

« Si sa t’intéresse j’aurais quelques petits boulots pour toi à l’avenir, merci encore de m’avoir sauvé la vie. »

Il me serra la main et traversa l’autre côté de la rue pour appelé un ami de « la famille » pour le rapporté chez lui. Tandis que moi je partis vers mon appartement qui n’était pas très loin

MJ On

Tu prend la voie facile et professionnel des grands, Paulie adore ca et te propose du travail qu'il t'offrera souvent à partir de maintenant, il t'es extrêmement reconnaissant pour ce que tu as fais pour lui, tu as joué le grand jeux et tu as parfaitement câdré avec ton style personnelle, car te salir les mains, est de loin une chose que tu hais faire ..

- 700 $

+ 6 de réputations, bravo !

MJ Off

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